Jean Weber


Journaliste aujourd’hui honoraire passé par l’Humanité, le Canard Enchaîné et l’AFP il y a chez lui un goût affirmé pour la démoralisation. En passant, la soixantaine bien sonnée, de l’article de presse au roman il n’aura rien perdu de son pessimisme. Noir, chez lui tout est noir. Aucun train n’arrive à destination. Les bienfaiteurs de l’humanité pointent tous au chômage et la jeunesse s’enrhume. D’ailleurs, il n’écrit que quand il est convaincu que le pire reste à venir. Elle est loin l’époque barricadière où il pensait pouvoir changer la vie...



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